07/07/2013
Des palmes pour mieux nager....
Cette série sur les anatidés va commencer par le plus gros oiseau volant : le Cygne tuberculé
Je ne sais pas pourquoi il est aussi doué pour les poses romantiques...
Le lac du Der le pousse même à la natation synchronisée !
Non, il ne va pas jusqu'à Marrakech... ce monument est cristolien ! Vous n'avez qu'à chercher de quelle ville cet adjectif est le gentilé....
On reste chez les gros et on part à Londres...
C'est lourd, une Bernache du Canada... ça a du mal à décoller !
...et l'atterrissage ( à la Courneuve) est assez sportif !
Autre bernache, d'origine bien naturelle celle-ci, la Bernache cravant
Nettement plus petites que les Bernaches du Canada, elles volent avec plus de légèreté...
Quant à l'Oie cendrée, elle se balade !....
Le Tadorne casarca est une espèce steppo-désertique ( je l'ai "cochée" au Sahara algérienne...) qui s'est fort bien acclimatée à la région parisienne ! Un couple ( mâle à gauche) au bois de Vincennes...
Proche cousin du casarca, le Tadorne de Belon aime bien les grandes baies envasées ( ici la baie de la Somme) où il peut croiser le Canard pilet remontant d'Afrique
Autre canard qui ne va pas tarder à remonter vers le Nord, le Garrot à oeil d'or
Cet original ( un immature dont on n'a pas réussi à préciser le sexe) est venu passer quelques semaines ... sur le canal St Martin en plein Paris !
Ca le met en joie, d'ailleurs !
On continue dans les canards nordiques avec le Harle huppé
Ce mâle faisait sa toilette au parc du Marquenterre.
Autre espèce de la même famille, le Harle piette.
Soyons honnête, ce très joli petit mâle a été photographié dans un parc londonien... On peut voir d'ailleurs toutes les espèces de canards européens à Londres !
On trouve quand même sur les pièces d'eau londoniennes d'autres canards qui y sont venus de leur plein gré
Les Fuligules morillons mâles se reconnaissent facilement, même sans voir leur huppe !
21:09 | Tags : cygne, bernache, cravant, oie cendrée, casarca, tadorne de belon, pilet, garrot, harle huppé, piette, morillon | Lien permanent | Commentaires (0)